votre pseudo: Sarah Kun
Titre de votre texte: Le mythe de l’âme-sœur.
Format de votre texte ( nouvelles, romans, novella): Roman (+/- 280 page en 14)
Genre de votre texte ( fantasy, fantatsique, horreur, science-fiction, non fictif):Fantasy, romance...
Résumé:
L'histoire se base sur le concept du verre à moitié vide ou à moitié plein. Tout dépend de quel point de vue on le regarde.
Le récit commence sur Alex qui quitte sa contrée natale pour une mission sur une île anglaise appelée Naulage-Island. Cette mission est une intronisation de passage pour faire partie du clan des fédérateurs. Elle va découvrir un monde qui lui était jusqu’à lors inconnu.
l'âge de votre texte (depuis combien de temps travaillez-vous dessus?) :
Je l’ai rédigé en un an (écriture+ nombreuses relectures) il y a 4 ans.
Les difficultés rencontrés pendant son écriture:
Pendant l’écriture, je n’ai pas rencontré de difficulté. Je l’ai écrit à un moment où j’en avais besoin pour m’extraire de mon quotidien. Je n’avais aucune intention de le faire lire. Donc, pas de pression et pas d’autocensure. Ensuite, quand j’ai eu mon produit fini, je l’ai laissé lire à ma première lectrice qui est prof de français. Elle m’a fait un bon retour et m’a aidé à enlever les belgicismes et a corrigé le plus gros de mon orthographe (un texte de cette taille, il est difficile de tout débusquer).
J’ai une petite communauté d’ami qui a voulu lire mon manuscrit et qui m’en ont fait un chouette retour (mais… ce sont mes amis…).
Vient le moment ou… je décide d’aller plus loin. Là… c’est l’angoisse. Impossible de faire un résumé ou un synopsis, de mettre en avant les points positifs,… je suis complétement bloquée.
Le concept du verre à moitié plein et à moitié vide… ce n’est pas pour faire joli. C’est réellement une charnière de mon histoire. Je ne vois pas comment le résumer. Il est important que le lecteur aille jusqu’au bout, car sinon il passe à côté. Rien que de le résumé ici… ça a été un vrai calvaire. Je ne sais pas quoi dire, ni par où commencer. La romance de l’histoire est présente, ce n’est pas elle qui fait l’histoire, même si elle a son importance.
Je l’ai tenté à une petite maison d’édition qui venait d’ouvrir près de chez moi. Elle s’est arrêter (comme ça se fait beaucoup) au premier chapitre. Ce n’était pas le genre de littérature qu’elle souhaitait publier. Elle proposait un retour, c’est ça qui m’a motivée à pousser leur porte.
Comme j’avais du soutien derrière moi, on m’a poussé à l’envoyer. Je l’ai fait à Bragelonne et à Mnémos sans trop de conviction. J’ai eu une réponse négative de Mnémos (pas de retour de Bragelonne).
Je dois avouer que je l’ai fait pour « dire que » j’avais fait des démarches. Les autres maisons d’édition me tentent plus car j’ai besoin d’ un contact. Hop… rebelote, ça fait 3 ans que je le dis … mais je n’ose pas me lancer. Comme dit dans ma présentation, je me trouve des excuses et j’ai peur du retour négatif car elles m’intéressent vraiment.
Mon manuscrit, c’est mon bébé. J’ai besoin d’en prendre soin et d’être sécurisée.
Jusque-là, je ne me mettais pas de pression. Il se fait que je suis en train d’écrire la suite. C’est un travail titanesque. Je sais que ça me fait du bien, mais je n’ai pas envie de travailler pour rien. Je suis à temps plein et j’ai repris de cours du soir… je pense que tout le monde a compris. ^^
Comme vous l’avez remarqué, je ne sais pas me vendre. Néanmoins, j’espère que certain ont eu l’envie de le lire. Hahaha…
Je reste à votre disposition pour toute question.
Bien à vous,