[John Steakley] Vampires

Année d'édition : 1998
Edition : Pocket
Nombre de pages : 379
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture :    Imaginez un monde, le nôtre, mais où les vampires existent bel et bien, quoique personne, parmi les autorités ni les médias, ne veuille reconnaître leur existence.
    Imaginez que le seul rempart face à ces monstres soit une bande de chasseurs de primes bardés de pieux, directement mandatés par le Vatican, et dirigés pas un baroudeur désabusé du nom de Jack Crow. Une troupe menant un combat qu'elle ne pourra jamais gagner — et qui le sait fort bien.
    Tel est l'univers de « Vampires », où l'on ne tergiverse pas sur l'existence des buveurs de sang ; ces monstres sont une réalité à laquelle Jack Crow doit faire face comme il l'a toujours fait : envers et contre tous.

    Mêlant aventure et humour, émotion et action, John Steakley ouvre une ère nouvelle dans l'histoire des vampires.
    Réalisé par John Carpenter, le grand maître du fantastique, « Vampire », avec James Wood, est aussi un des films les plus attendus de l'année 1998.

Voilà un univers de "mecs", bourrés de testostérone, d'alcool, de rock ! Derrière cette équipe de baroudeurs, on découvre des hommes courageux, qui doivent faire face à des vampires très coriaces et vicieux. Leurs doigts griffus arrachent et déchiquètent, et le récit passe rapidement du soulagement de s'en être tiré à du pur récit d'action ampli de lambeaux sanguinolents. On devine l'équipe de Crow vouée à l'échec, lancée dans un combat inégal, perdu d'avance.
Les rebondissements sont bien menés, le récit est dynamique et les personnages plutôt attachants. Il n'y a que Davette, le jeune fille très très belle, très très douce, avec son histoire interminable et triste qui m'a ennuyé, et j'ai passé ces pages là en diagonale, je l’avoue sans honte.
J'ai passé un moment agréable avec ce livre. Je n'en garderai certes pas un souvenir indéfectible, mais il est sympa.