[Donna Leon] Requiem pour une cité de verre

Année d'édition : 2010
Edition : Calmann-Lévy
Nombre de pages : 339
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture : Tassini, veilleur de nuit dans une verrerie, est obsédé par les déchets toxiques que les entreprises locales rejettent dans les eaux de Venise. Une pollution qui serait responsable, selon lui, du handicap de sa petite fille. Un matin, Tassini est retrouvé mort devant l'un des fours de l'usine maudite. La thèse de l'accident ne satisfait pourtant pas le commissaire Brunetti.

Il faut vraiment que j'envisage de me lire toute la bio de cet auteur ! Ses romans sont agréables à lire, les personnages passionnants et les énigmes policières sont très intéressantes.
On découvre Venise, sa lagune, les habitudes et le quotidien des habitants. Contexte politique, préoccupations touristiques et écologiques, tout y est très dépaysant. Le commissaire prend une vedette pour se déplacer comme on prend un taxi ! Et, en bon vivant, il fait partager au lecteur les bons petits plats que lui prépare son épouse et son amour pour la gastronomie italienne.
Le couple contribue à une ambiance châleureuse : cultivés, ouverts, intelligents, ils donnent envie de relire ou de découvrir certains auteurs. La famille de Brunetti est une composante importante de chaque enquête, même si elle n'est pas omniprésente.
Ce roman est une plongée dans l'univers des verreries, et c'est une promenade très agréable. Je l'ai dévoré, et me retiens pour ne pas plonger de suite dans un autre !