[Tsugumi Ohba/Takeshi Obata] Death note (Saga)

Quatrième de couverture : Light Yagami est un lycéen âgé de 17 ans, jeune homme brillant, fils d’un policier, il découvre un étrange carnet qui se révèle être le livre d’un dieu de la mort : Ryûk ! Light apprendra vite quels terribles pouvoirs renferment ce carnet : tous ceux dont le nom est inscrit dans le Death Note sont appelés à mourir dans les 40 secondes qui suivent !
Les implications sont énormes et en possession d’un tel carnet Light est potentiellement capable d’imposer sa loi à un monde qu’il estime perverti. Mais peut-on choisir qui va vivre et qui va mourir ? Certaines personnes méritent-elles de mourir par la seule volonté d’un adolescent, à la fois juge et bourreau pour une sentence irrévocable ?
En agissant de la sorte Light devient lui-même un criminel, il éveille ainsi l’attention de L, enquêteur mystérieux mandaté par Interpol. Un duel sans merci s’engage entre ces deux esprits exceptionnels !
Nombre de tomes : 12
Edition : Dark Kana

J'avais entendu parlé de ce manga sur un autre forum de plus j'avais beaucoup aimé la couverture de ce premier tome alors c'est avec celui-ci que j ai commencé à me lancer dans l'univers des mangas.

Light un étudiant comme les autres tombe un jour sur ce mystérieux carnet, une fois ouvert il sera bientôt accompagné du dieu de la mort.
A quoi ressemble-t-il ?
comment peut -on tuer des gens avec un carnet ?
et comment ?

C'est ce qui m'a intriquer avant de commencer ce manga.

En ce qui concerne les personnages je ne suis donc pas decue par le dieu de la mort mais je n'en dirais pas plus
sinon en va dire que la brigade de policier hormis L m'agace un peu. Je les trouve un peu niais.

Malheureusement et je ne sais même plus pourquoi je crois m'être arrêtée au tome 9 de cette serie alors que j'avais beaucoup aimé peut être à cause de la file d attente à la bibliothèque en tout cas j'envisage de finir meme si je trouve que sur la fin ce manga devient fouilli il mérite d'être connu.

Ca ne surprendra personne si je dis qu'il s'agit d'un de mes mangas préférés, n'est-ce pas ? Déjà, pour le dessin d'Obata (qui a aussi dessiné Hikaru no Go). Ensuite, pour le scénario qui consiste en une lutte entre deux génies, qui ont tous les deux décidé qu'ils combattaient pour le Bien (le premier, parce qu'il tue les criminels qui échappent à la police ; le second, parce qu'il poursuit quelqu'un qui tue des gens sans l'accord des autorités). Joute mentale, action, mais aussi réflexion sur le bien et le mal, qui ne tourne jamais au manichéisme (les moyens employés sont douteux de part et d'autre, et au final, il n'y a pas vraiment de morale à l'histoire). J'adore Ryûk, shinigami amateur de pommes et complètement amoral (pour lui, ce qui compte, c'est de s'amuser). D'accord, ça manque un peu de personnages féminins forts (quoi que, Misa Amane n'est pas si écervelée qu'elle veut bien le faire croire ; son seul tort est son aveuglement absolu dans l'amour qu'elle porte à Light) mais c'est hélas un problème récurrent dans le manga. La série s'essouffle cependant un peu après le tome 6, pour cause de disparition de l'un des personnages principaux, mal remplacé.
C'est un manga très "bavard" comprendre avec beaucoup de texte pour que les personnages puissent exposer leurs plans machiavéliques, ce qui peut rebuter certains lecteurs (mon mari n'a jamais pu le finir). En tout cas, un excellent croisement entre policier et fantastique.

Mon avis :

Ce premier tome du manga Death Note met en scène Light, un lycéen japonais de dix-sept ans particulièrement doué, qui est également le fils du directeur de la police. Alors que sa journée s’annonçait banale au possible, Light voit un cahier tomber dans la cour de son école. Il le ramasse et découvre qu’il a entre ses mains le Death Note. Peu après, un dieu de la Mort – celui qui avait égaré ce précieux bien dans le monde des humains – apparaît. Il se prénomme Ryûk et ne peut être vu que par celui qui détient ce cahier. Or, le possesseur du Death Note a la capacité de tuer n’importe qui, il lui suffit pour cela de noter le nom de la personne qu’il veut voir mourir dans ce fameux cahier. Light, justicier dans l’âme, décide de commencer une lourde tâche : créer un monde parfait en se débarrassant de tous les criminels. Cependant, Interpol veille au grain et décide de faire appel à L., un enquêteur dont on ne connaît ni le nom ni le visage, mais qui a résolu les enquêtes les plus complexes de la planète, afin qu’il découvre l’identité de cet homme qui décime peu à peu les prisonniers…

Quelle belle découverte que ce manga ! Je ne m’attendais pas à tenir une telle œuvre dans mes mains lorsque j’ai lu les premières pages… et waouh ! Le scénario est superbement bien ficelé. Nous sommes très rapidement happés par l’intrigue créée par Tsugumi Ohba et le Death Note devient l’objet de toute notre attention, car on se demande ce que le héros va y inscrire ! De plus, le lecteur n’est pas en reste en ce qui concerne le suspens. Les amis, gare à vos nerfs !

Le héros… parlons-en ! Peut-on réellement le qualifier de tel ? En effet, s’il semble parfait au premier abord (plutôt beau, élève réellement brillant, désireux d’apaiser les souffrances et de créer un monde idéal…), on s’aperçoit que le Death Note a quelque peu modifié ses ambitions… En effet, ce phénomène prend de l’ampleur et les internautes surnomment ce mystérieux meurtrier (qui ne tue que des criminels) Kira. Or, cela plaît beaucoup à Light d’être Kira, un homme si puissant… Peut-être même pourrait-il devenir un dieu ! Et cette soif de pouvoir le rend un peu moins exemplaire, d’autant plus qu’il souhaite doubler ceux qui sont à sa recherche et qui se rapprochent peu à peu de lui… Mais quel sort leur réserve-t-il ?

Il faut également souligner le talent de Takeshi Obata, le dessinateur, qui a illustré à merveille cet ouvrage. Il a réussi à faire un dieu de la mort relativement angoissant – peut-être même un peu trop pour l’âme sensible que je suis. De plus, qu’il s’agisse des personnages ou des décors, le tout est vraiment très soigné.

Comme vous l’aurez aisément compris, j’ai adoré ce premier tome et hâte de me plonger dans la suite de Death Note afin d’en savoir davantage sur l’énigmatique L..

Mon avis sur le tome 2 :

Ce second volume de Death Note commence sur les chapeaux de roues, reprenant l’intrigue là où elle avait été laissée dans le premier opus. Nous découvrons que Raye Penber, qui faisait partie de l’équipe policière qui recherche activement l’identité de Kira, a été tué. Mais sa femme, Naomi Misora, est un ancien agent du FBI, et elle désire tout mettre en œuvre pour aider L à débusquer ce mystérieux assassin, agissant dans l’ombre. L, quant à lui, décide de ne plus cacher son identité et de se dévoiler à un groupe de cinq recrues, avec lesquels il compte bien mener son enquête. Et parmi ces policiers, il y a le père de Light. Light parviendra-t-il à ne pas tomber dans les filets de cet enquêteur hors pair ?

Tout d’abord, le point fort de ce roman est que l’on met enfin un visage sur L – qui va demander au groupe qu’il encadre de l’appeler Ryûzaki. Et je dois avouer que je ne l’imaginais pas du tout comme ça ! Je me l'étais représenté mature, voire d'un certain âge, et au final, on a l’impression d’avoir affaire à un adolescent. Il nous fait donc penser à Light (qui, petit rappel, est le fameux Kira), et j’ai trouvé que le duel qu’ils mènent l’un contre l’autre a encore plus de sens.

Mais alors que l’on devrait avoir Light en horreur, car il tue allegro (tout d’abord des meurtriers, qui méritaient de mourir pour le mal qu’ils ont fait, puis aussi les personnes qui deviennent gênantes, parce qu'elles approchent de trop près son secret), on ne peut s’empêcher de trembler pour lui et de craindre pour lui. Bien sûr, on espère qu’il sera découvert et mis derrière les barreaux, mais pas tout de suite. Peut-être finira-t-il par redevenir quelqu’un de bien ? Mais malheureusement, on a l’impression que tout ce pouvoir lui monte à la tête… Et là, je commence à avoir des hypothèses pour les tomes à venir…

Le suspens ne fait que croître page après page. Nous suivons l’intrigue à la fois du côté des enquêteurs japonais, qui commencent à se rapprocher dangereusement de Kira, mais aussi du côté de Kira, qui partage son quotidien avec le Dieu de la Mort (qui n’hésite pas à lui proposer de jouer à Mario Golf, pour la petite touche d’humour) et qui tente de créer des stratégies pour que l’on ne découvre pas qu’il est celui que tout le monde recherche.

Et l’on referme ce tome avec une seule envie : celle de se plonger dans la suite. Ce manga est une vraie petite pépite, et je le recommande à tous les amateurs du genre !

oui moi aussi j ai été emballée par ces deux premier tome le 3 un peu moins si mes souvenirs sont bons et je crois avoir lu la serie jusqu'au tome 9

Une première partie captivante et puis cela dégénère et j'ai trouvé la fin baclée. L'idée de base reste excellente.

J'ai lu beaucoup d'avis où les personnes adorent la première moitié, puis ils se passent un truc, et ça part un peu n'importe comment...
J'attends donc de me forger mon propre avis.

Il y a pas mal de temps que je voulais m'essayer aux mangas, moi à part les animés et qui datent, je n'avais jamais eu l'occasion de lire de format papier.Aussi quand Anne Sophie a parlé de celui-là sur son blog, et qu'elle a eu la gentillesse de me le prêter, je n'ai pas pu résister à faire une incursion dans ce genre que je connais si peu.Et j'ai bien fait, voici mon billet de totale novice

Un mystérieux cahier va tomber dans la cour du lycée de Light 17 ans et celui-ci va s'empresser d'aller le ramasser.Quand il va l'ouvrir , il va croire à un canular: c'est un Death Note, un cahier sur lequel vous écrivez un nom et si vous savez à quoi ressemble cette personne, elle mourra, vous pourrez même décider comment si vous respectez certains délais.Le Death Note appartient à un Dieu de la Mort, ici Ryuk qui colle aux basques du nouveau propriétaire jusqu'à ce que celui-ci s'en débarrasse.

J'ai été séduite par la qualité de l'histoire qui soulève une vraie question: a-t-on le droit de s'octroyer pouvoir de vie et de mort sur autrui même si à la base on est animé des meilleures intentions?

Light est un jeune homme réfléchi aussi va-t-il prendre son temps avant d'inscrire des noms en se posant ma foi, toutes les bonnes questions .Mais saura-t-il se limiter devant un tel pouvoir?
Le mystérieux L, genre de super détective va se mettre en travers de sa route et l'étau va se resserrer autour de Light L dont on ne voit à aucun moment le visage, dernier recours pour les enquêtes impossibles
Enfin, j'ai adoré Ryuk qui va suivre avec intérêt l'impact qu'aura le cahier sur le jeune homme et sera le témoin enthousiaste du duel qui va se mettre en place entre L et Light.

Au niveau des dessins, je les ai trouvés très réussis surtout ceux du début, qui soulignent les contrastes entre le monde de Ryuk et celui de Light.
Mention spéciale pour la dégaine pas possible de Ryuk et j'espère qu'on aura l'occasion de se balader davantage dans son monde dans les prochains tomes.

Au final j'ai passé un super moment détente avec ce manga, l'univers m'a emballé, les rebondissements éclatés et je compte bien découvrir le second tome très vite