[Julie Garwood] Un amour assassin

Année d'édition : 23 novembre 2008
Edition : J'ai lu
Nombre de pages : 445 pages
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture : Regan dirige avec ses frères une chaîne d'hôtels de luxe. Entraînée par Sophie, son amie d'enfance, elle assiste à un séminaire où elle doit se prêter à un petit jeu en apparence inoffensif : dresser la liste des personnes qu'elle souhaiterais voir disparaître.
Peu après, elle reçoit la photo d'un homme pendu. C'était le premier nom sur sa liste ! Et ce n'est qu'un début...
Regan est placée sous la surveillance d'Alec, l'inspecteur de police qui mène l'enquête. Ensemble, ils vont tenter de démasquer celui qui est à l'origine de ce jeu macabre. Le temps presse car le tueur en série se rapproche dangereusement de Regan...

Mon avis :

Ce qui m'a d'abord attiré dans son roman c'est la couverture que je trouvé originale. Elle changeait de ce qu'on l'on pouvait voir habituellement et elle m’intriguait beaucoup.
Quand j'ai lu le résumé, j'ai tout de suite eu envie de débuter la lecture. En effet, l'histoire paraissait intéressante et l'intrigue sortait un peu de l'ordinaire : faire une liste de personnes que l'on voudrait voir morte c'est très inhabituel.
Dès les premières pages on est directement plongé dans l'univers de Regan, dans ses ressentis. Ensuite, on fait connaissance avec le mystérieux agresseur. Son état est décrit avec beaucoup de réalisme et d’intimité que ça en ait presque bouleversant. Au fil de l’histoire, on fait la connaissance d’un autre personnage important, l’inspecteur Alec qui sera chargé de résoudre cette étrange affaire.

J’ai bien aimé ce roman car l’auteur décrit bien les relations entre les personnages et l’intrique est très bien traité. On est sans cesse sur la défensive à se demander quelle sera la prochaine étape.
Je me suis retrouvée pendant la lecture a ressentir les peurs de Regan à chaque moment clé de l’intrigue.

Certes j’ai connu des thrillers plus intimidant mais celui-ci par son écriture et l’originalité de son histoire m’a plu.