Désolation

Année d'édition : 2004
Edition : Le livre de poche
Nombre de pages : 824
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture :
La route 50 coupe droit à travers le désert du Nevada, sous un soleil écrasant. On n'y entend que le jappement lointain des coyotes. C'est là qu'un flic étrange, un colosse aux méthodes très particulières, arrête des voyageurs sous des prétextes vagues, puis les contraint de le suivre à la ville voisine Désolation. Et le cauchemar commence... Après plus de vingt romans, best-sellers planétaires, Stephen King démontre avec éclat qu'il n'a rien perdu de sa puissance d'invention. Ce thriller éprouvant, au goût d'apocalypse, nous entraîne plus loin que jamais dans la lutte éternelle du Bien et du Mal.

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J'ai terminé la lecture de ce roman avec un très fort sentiment d'horreur. Sentiment typique des romans de Stephen King! Ce dernier confronte encore une fois très habilement le Bien et le Mal pour former un tout fantastique et captivant.

On se retrouve dans un désert, sur la route 50. Très peu d'automobilistes y passent. Plus loin sur cette route se trouve la petite ville de Désolation. Une ville minière ne comptant que très d'habitants. Nos personnages soit Mary et Peter Jackson, la famille Carver ainsi que Johnny Marinville se feront arrêté par un policier sur cette route. Ce policier si grands et si costaud qu'il pourrait être qualifier d'armoire à glace les emmènera sous différents prétextes vers Désolation. Dès ce moment, l'horreur et la peur s'emparont d'eux.

L'histoire est originale et nous retrouvons une atmosphère lourde. Le sentiment de danger suit tout au long les personnages mais aussi les lecteurs. On recherche désespérement à savoir ce qui se passe exactement dans cette ville.
Je n'arrive pas à trouver le mot juste pour décrire tout l'amalgame de sentiments qui surviennent. L'écriture de Stephen King est toujours aussi crû et surprenante.

J'ai beaucoup aimé ce roman et je le recommande fortement à tous