Année d'édition : 2005
Edition : L'Archipel
Nombre de pages : 326
Public visé : Adulte / Young Adult ?
Quatrième de couverture : Afin que le projet le plus diabolique jamais conçu par la science demeure secret, le Dr Kane doit faire disparaître six enfants qui ont été le jouet de ses expériences de laboratoire. Pour échapper à leur sort, ils se sont retranchés dans une maison au bord d'un lac, où ils se croient en sécurité. Mais c'est compter sans l'obstination du démiurge qui a programmé leur mort ! Avec La Maison au bord du lac, James Patterson nous plonge dans un univers où clonage humain et organismes génétiquement modifiés font partie de plans bien plus machiavéliques encore.
Ma lecture : ce roman est la suite de
Souffle le vent, que je n'ai pas lu. Cela ne m'a pas vraiment gêné, même si j'aurai sans doute apprécié découvrir les personnages lors de leur rencontre : je vous recommande donc de lire le tome 1, ne faites pas comme moi : il a l'air drôlement sympa.
Comme tous les romans du même auteur, celui-ci est sympa, on ne s'ennuie pas, les personnages sont attachants et l'intrigue flirte avec l'étrange. Pas un Grand Roman inoubliable, je ne suis pas d'accord avec ce qu'il y a sur les couvertures disant que c'est "l' auteur n°1 des romans à suspens", mais assurément une lecture distrayante, avec une écriture fluide, pas compliquée.
Alors, le tome 1 : Kit,agent du FBI et Frannie, vétérinaire, ont aidé 6 enfants ailés (voui !), fruits de bidouillages génétiques, à s'évader d'une clinique de l'horreur. Au début du tome 2, nos héros espèrent obtenir la garde de Max, Oz,Matthew,Icare, Wendy et Peter : Les personnages sont sympas, ils forment une petite famille attachante.
Ce droit de garde est que revendiqué par leurs parents biologiques qui croyaient leurs enfants morts nés.
Un autre danger guette les enfants et leurs sauveurs : le docteur Kane veut les récupérer pour ses expériences.
Je ne pensais pas que j'allais passer un aussi bon moment avec
La maison au bord du lac, mais j'ai joué le jeu et malgré le thème peu original (le docteur fou qui veut prolonger la vie de riches puissants) il est traité avec assez d'originalité pour que cela ne soit pas ennuyeux.